Du nouveau en ville et du sang sur le murs [présent]

Quelques jours après la nomination de Kokoru au poste de capitaine de la 10ème division, je m'étais dirigé vers la 12ème division pour en apprendre un peu plus quand un papillion de l'enfer était arrivé :
Noshû-taishô, vous êtes priés de vous rendre dans les quartiers de la première division. Le sô-taishô vous y attend.
J'avais laissé partir le papillon puis m'étais dirigé à la première division. Le sô taishô m'avais expliqué la disparition des âmes à Karakura, sans qu'elles n'arrivent à Soul Society. Il m'avait alors confié que le capitaine Ryôkozu était parti à la recherche de l'origine de ces évenements, et n'était pas encore revenu. Il m'avait ordonné de me rendre sur place, ce que je fis.

Maintenant, je me trouvais à Karakura nord, cherchant l'origine de la disparition des âmes. J'entendis une âme se faire agresser et me précipitais vers elle, mais ce n'était qu'un hollow. J'en finis rapidement avec lui puis envoya l'âme à Soul Society et me reconcentrais sur mes recherches.

Puis... Je sentis très furtivment le reiatsu du capitaine Ryôkozu disparaître dans le dangai. Je me dirigeais vers cet endroit pour découvrir des traces de sang et de chair sur le sol et les murs.

Quelques mètres plus loin, je vis deux silhouettes dont l'une agressait une fillette. Je n'eu pas le temps d'agir, mais je me précipitais vers elles puis m'arrêta en restant à distance raisonnable.

Soudain la colère m'envahi en entendant encore les cris de la fillette résonner dans ma tête.

Qui es-tu ? Demandais-je alors à la silhouette la plus proche de moi.

La silhouette me répondit d'une voix de femme avec un léger accent allemand :
Soudain, la secondes silhouette pris une poubelle métallique entre ses ... pattes et poussa un cri à vous pétrifier sur place.
Je sorti mon sabre en pensant que la forme scellée suffirait à l'arrêter, puis pointa la lame vers le coeur de la jeune femme.

Soudain, la secondes silhouette me jeta la poubelle dessus. Je l'esquiva facilement, mais Grausam, puisque c'est son nom, tenta de m'attraper avec des tentacules. J'en trancha quelques unes, mais leur nombre vint à bout de moi. Il réussi a me prendre la cheville, puis Jack prononça La créature relâcha alors ma cheville. Et je compris enfin à quoi j'avais affaire.
Il y a de cela plus d'un an, lorsque j'étais encore un jeune shinigami, nous avions étudié une partie un peu spéciale de la population du monde réel, qui possède un compagnon qui lui est dévoué, et qu'on appelle Dolls.
Une douleur atroce et insupportable me traversa la cheville, pendant que je prononçais sans faire exprès le mot qui me vint à l'esprit :
Une grimace de douleur apparu sur mon visage, et à ce moment je compris que la forme scellée de Ryûtôtake ne suffirait pas à arrêter Jack l'éventreur...
Avec difficulté, je me releva, pris mon fourreau dans la main gauche, et libéra Ryûtôtake :
Mon sabre pris sa forme de tête de dragon en bambou, pointant ses crocs vers Jack, mon fourreau pris lui aussi la forme de tête de dragon de bambou, pointant ses crocs vers le ciel, qui s'assombrit un peu.

La doll pris alors sa maîtresse dans ses bras et l'emmena en haut de l'immeuble.
Un sourire moitié-sadique éclaircit mon visage.
Je m'envola et me posa en haut de l'immeuble, plusieurs secondes après eux.
Je scruta les environs sans les voir ; je me mis alors à chercher leur reiatsu, mais sans conviction, car je savais que les bounts sont des maîtres dans l'art de camoufler leur reiatsu.
En revanche, je savais qu'aucune entité ne pouvait camoufler entièrement le bruit qu'il fait en respirant ou en se déplaçant, aussi prudent et discret soit-il.
Après plusieurs secondes sans bouger, j'entendis un bruit quasi imperceptible dans mon dos.
Je me tourna et lança dans la direction du bruit, derrière une bouche d'aération, avec Ryutôtake :
La bouche explosa, mais après la dispertion de la fumée, rien n'apparut.
Je leva alors la partie fourreau de Ryutôtake vers le ciel, et des nuages s'amoncelèrent en dessus des imeeubles, puis la température chuta de plusieurs degrés, en même temps que la lumière diminuait.

Il m'avait repéré au son de mon souffle. J'avais eu juste le temps de m'échapper. Si seulement je pouvais du bruit dans toute la zone... Puis la température chuta soudainement et de la brume apparu. Je ne pus retenir un sourire. Ce genre de décor était omniprésent à Londres, le soir dans les quartiers des pauvres... Ce genre de terrain était mon genre de terrain. Profitant de la brume de marcha dans un silence complet. Pas un bruit, pas un souffle trop fort. Je marcha jusqu'à un autre de ces truc bizarre dont je ne saisi pas le nom. Puis dans un mouvement éclair, passa une de mes lames dessus. L'homme entendit et attaqua, pendant qu'il attaquait le machin, je couru vers lui grâce à ma vitesse. Trop abasourdi par la manœuvre audacieuse il ne put esquiver mon attaque à ses flans, le transperçant au entre-côtes. Je bougea mes lames, profitant de chaque sons de douleur, et lui mordis l'épaule pour goûter à son sang et à sa chaire. Je m'éloigna avec le sourire comme je me lécha les lèvres avant de me cacher à nouveau, cette fois prés d'un des générateurs électrique extérieurs. Enfin un nom qui n'est pas compliqué...

Après mon attaque ratée, je sentis une lame me transpercer les côtes, une douleur lancinante me pris dans le côté gauche, et un cri s'échappa de mes lèvres.
Puis la folle me mordit à l'épaule et m'arracha un morceau de chair. Je laissa tomber mon zanpakutô, et me pris l'épaule avec la main droite en appuyant fort.
Une idée me traversa l'esprit, mais je savais que j'aurais d'énormes problèmes si je le faisais.
Tessai-san avait été banni de Soul Society pour ça...
Je repris le fourreau dans ma main gauche, et scruta par terre pour voir dans quelle direction partait mes gouttes de sang, tombant de la bouche de la bount, puis je lanca dans la direction que m'indiquait mon sang un sort puissant :
Le sort déchira l'atmosphère et explosa un générateur électrique à quelques mètres de moi, puis s'évanouit dans les airs, en éteignant avec lui toutes les lumières de l'immeuble...

Je grimaça de douleur, des éclats de métal étaient venus se loger dans mon bras. Je ne pouvais plus me battre avec discrétion, mon bras était trop endommagé. Plus qu'une solution. Il fallait que je réveil Grausam pour qu'on lui ferme son clapet à ce petit idiot... Je prit une profonde inspiration, un plan se formant dans ma tête. Je me dirigea vers l'homme en courant et sauta, invoquant Grausam dans sa vraie forme.

"Zeige Dich, Grausam !"

Grausam apparut et utilisa ses tentacules sur les extrémités de la bestiole en bambou pour lui fermer ses deux bouches avant de s'écraser dessus, la mettant à terre. Moi, de mon côté, j'atterrie sur l'homme, le mettant à terre, et commença à le frapper avec force et détermination, l'insultant dans ma langue maternel au passage.

"You little idiot !"

Après plusieurs minutes d'attente, la folle appela sa doll qui m'arracha mon zanpakutô des mains, puis Jacky se jeta sur moi en m'insultant et en me frappant avec une force redoutable. Pendant plusieurs secondes, je ne pu rien faire, puis je me mis à me défendre.
Je lui dit alors :
Ma jambe se détendit avec force en plein dans son ventre, puis mon poing atterrit dans sa face de sadique et je pu enfin me relever.
Je pointa alors ma main vers Jacky, puis prononça :
Au dernier moment, je dévia ma main vers sa doll et finit :
La doll se retrouva prisonnière de mon sort, lâchant mon zanpakutô, que je m'empressa de récupérer.
Puis, Ryûtôtake dans les mains, je me cacha derrière une bouche d'aération d'un immeuble voisin, le temps de récupérer un peu, et de former un plan... qui surgit bientôt dans mon esprit...
Un sourire sadique s'imprima sur mon visage...

Je regarda Grausam... Cette fois c'est sûr, on est fini... Le mieux que je vois dans cette situation est de battre en retraite dans l'immédiat... Mais pour ça, je dois sceller Grausam. Je me dirigea vers lui en courant et le scella à nouveau, le transformant en chevalière. Puis je chercha une sortie, un échappatoire... Et je le vis avec l'immeuble d'en face. Je couru à l'insu de l'homme vers l'autre immeuble mais... Le sol était glissant... Et je trébucha juste au bord de l'immeuble. J'aurai pu tomber dans le vide si je ne m'étais accroché sur le rebord avec mon bras valide... Voyons... J'ai un choix...

Soit je remonte et je fini en charpie a cause de cette homme et des sévère blessures que moi et Grausam avons subit, soit... Je regarda le vide en bas de moi... J'ai plus de chance de survit à une chute qu'à ce type... Et puis de toute façon...

"I LET GO !!!!"

Mon bras lâcha prise et je tomba...

Je savais que maintenant, le combat était fini. La bount s'était enfui, je lui avais mis sa raclée, malgré les imposantes blessures qu'elle m'avait infligées. Mais la prochaine fois qu'on se recroisera, ce sera terminé pour elle, je ne la laisserait pas s'enfuir. Pour le moment, je ne pouvais plus combattre. Je savais que je n'avais aucune chance de la finir ici et maintenant.
Je senti qu'elle était déjà loin de là, et scelle Ryûtôtake, puis le rangea dans son fourreau.
Je décida alors de rentrer à la Soul Society pour informer le Sô Taishô de mes découvertes. Et aussi pour prendre des nouvelles de Kokoru.
Je décida alors de le contacter grâce à l'invention du Jû-Ni bantai taishô.
J'attendis sa réponse en m'enfonçant dans le Dangai pour rejoindre la Soul Society...

[HRP : RP fini non ?]

[HRP : Oui pour le moment
Du moins cette partie est finie. La suite sera une autre histoire ]